Fondé dans les années 60, l’Institut de la Vie a trois orientations :

• développement durable
• paix et citoyenneté
• lutte contre l’exclusion sociale

Après avoir porté des projets en Afrique (Tradition et Paix, Agriculture urbaine, ...), l’association déploie actuellement ses activités dans le cadre de la Cohésion Sociale à Anderlecht, à l’aide de dynamiques collectives et de partenariats, à partir de deux projets principaux :

• des cours d’Alpha/FLE
• le développement d’un potager collectif, support à d’autres initiatives de quartier.
   
   
  
   
  Ces activités sont sous-tendues par plusieurs axes de travail :
   
  • Les attentes du groupe, la participation et l’utilisation de dynamiques collectives.
   
  • Un travail sur les "représentations" de chacun, basé sur les connaissances, le savoir-faire, le savoir-être et le partage d’expériences.
   
  • La rencontre et le respect de l’autre, la curiosité, et au-delà des a priori, développer le Vivre Ensemble, en privilégiant des actions menant à une participation à une société mixte tant au point de vue genre que culturel.
   
  • L’accompagnement de personnes immigrées (primo-arrivants et plus largement, migrants) en vue de promouvoir leur participation à la société.
   
  • La recherche de synergies, d’activités menées en partenariat avec d’autres associations.

L’institut de la Vie en quelques dates :

1960 : fondation de l’Institut de la Vie à Paris à l’appel d’un biologiste le Professeur Maurice Marois et sous la Présidence de Jean Rostand, dans le but de mettre la science au service de la société. Etudes et actions diverses, notamment dans la région des Grands Lacs en Afrique.

1969 : fondation du Comité Belge de l’Institut de la vie sous statut d’ASBL.

1996 : création par le Comité Belge d’un espace d’accueil parents-enfants à Anderlecht reconnu dans le cadre de l’Éducation Permanente, fréquenté essentiellement par des mères immigrées et leurs jeunes enfants.

2001 : étude menée avec le soutien de la Fondation Roi Baudouin mettant en évidence le mal-être des femmes primo-arrivantes et leurs difficultés à participer à la société.

2006 : inscription dans le cadre de la Cohésion Sociale telle que définie par le décret de la Cocof et financement quinquennal en P2, cours d’Alphabétisation et Français Langue Etrangère.

2015 : aménagement du potager collectif Pot’Albert situé au square Miesse, en partenariat avec le Programme de Cohésion Sociale Albert et les habitants du quartier.

2019 : emménagement dans de nouveaux locaux du Foyer Anderlechtois sur le site des Goujons.